« Mon père était un peu Poulidor devant Yves Saint-Martin », raconte Pierre-Henri Samani, l’un des fils de jockey star des années 1960 et 1970 et du début des années 1980, décédé paisiblement jeudi après-midi à Simone Veil. Hôpital. A Cannes, à l’âge de 76 ans. & # xD; Avec Maurice Philipperon, Freddy Head, Philippe Paquet et d’autres, Henri Samani fait partie des jockeys qui ont marqué cette fois les moins de 40 ans. Il a terminé quatre fois sur le podium de la course Golden Cravache (une compétition beaucoup plus décentralisée qu’elle ne l’est aujourd’hui) en 1967, 1968, 1973 et 1974, échouant à la deuxième place cette année-là, manquant quelques 45 longueurs du légendaire Saint-Martin. . & # XD; Très apprécié des touristes, Henri Samani a remporté près de 2 000 victoires et inscrit son nom dans de nombreux événements importants du quadriennat français, défendant les couleurs françaises sur le territoire européen, en Amérique du Sud (Brésil et Uruguay), au Japon et même. Afrique (Maroc, Sénégal et Afrique du Sud). Il remporte le Grand Prix de Paris (1979 avec Soleil Noir et 1982 avec Le Nain Jaune), deux Grand Prix de Saint-Cloud (1971 et 1978), le Prix Jacques Le Marois (1973), deux fois le Prix du Cadre (1971 ) . et 1979), la triple Poule d’Essai des Poulains (1973, 1977 et 1978), et celle de Pouliches (1967)… surtout Arc. Son père, René, qui était lui-même un crabe d’or en Afrique du Nord et dans le sud-est de la France, a été étroitement associé à Henri Samini Marseille tout au long de sa vie. Formé par John Cunnington à l’époque, l’équipement d’origine a travaillé avec André Rueff, Jean Stern, Guy de Rothschild, Son Altesse Karim Aga Khan, Mahmoud Fusto, Sir Gaetan Duval et Max Bonnaventure, François Mathet ainsi qu’André Fabre. Il termine sa carrière de jockey avec l’entraîneur jockey mauritanien Chantilly
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