Le groupe rayonne sur une grande partie de la France, à travers une association…
Le groupe rayonne sur une grande partie de la France, à travers une association fondée il y a plus de vingt ans avec un Bordelais, Jean-Claude Boschet, qui exploite la côte Atlantique et Paris. Au total, APR mobilise quotidiennement 3 500 collaborateurs (1 500 équivalents temps plein). C’est un acteur capable d’imposer son huile de coude sur un marché dominé en France par des « grands » mondiaux de l’hygiène comme Onet, Atalian, GSF….
Débutant en 1977 avec un van acheté par chèque de 4 000 francs, remportant coup sur coup le tiercé gagnant, l’aventure d’entreprise d’APR a d’abord été celle d’un homme, tombé très tôt dans la marmite de service bercé par le bourdonnement de la machine à laver familiale.
L’entreprise croît, les enfants aussi… ailleurs
Ayant longtemps utilisé son premier aspirateur balai, Philippe porte sur ses épaules, avec la bénédiction de son épouse, une PME en croissance, à bon escient, tandis que leurs enfants, Thomas et la cadette Laurie poussent fort mais loin de l’entreprise familiale.
« Mon frère et moi avons quitté la maison tôt, vers l’âge de 16 ou 17 ans », explique Laurie, « Thomas nous a quittés pour poursuivre son rêve de devenir un professionnel du tennis. Et moi, dès que j’ai eu mon bac, je suis allé en classes préparatoires puis lycée technique. La vie m’a emmené en Nouvelle-Calédonie pendant quelques années, puis à Paris. »
« Pendant longtemps, nous n’avons pas pu dire exactement où était l’APR d’été », ont déclaré Laurie et Thomas. « La société ‘remplit nos assiettes’, comme nous le rappelait notre père (rires), mais il n’est pas très présent à la maison, il poursuit sa quête et nous vivons nos propres vies. »
« APR, plus structuré que certaines multinationales »
Et il y a quinze ans, APR est devenu un challenge pour les sportifs de haut niveau Thomas. Une entreprise, aujourd’hui dans la dimension cohorte nationale et ambitieuse où elle devrait gagner sa place, en apprenant les bases de tous les métiers exercés en APR.
Quelques années plus tard, Laurie quitte une carrière d’ingénieur prometteuse et Paris pour s’installer en Béarn, fonder une famille et, comme son frère, constater que l’entreprise « paternelle » a bien changé.
« A ma grande surprise, j’ai trouvé un groupe très structuré, aussi bon voire meilleur que certaines des multinationales dont j’ai évolué », avoue-t-il.
Par conséquent, au cours des dernières années, c’est devenu un trio de familles, chacune avec ses propres responsabilités, qui ont démarré APR et développé sa nouvelle entreprise. « J’ai réalisé à quel point j’avais de la chance. Le fait que je puisse emmener mes deux enfants dans une aventure familiale évite tout conflit de succession », a déclaré le fondateur.
« Tu comprends papa ! »
« Il n’y a pas de conflit entre moi et ma sœur, car nous nous complétons beaucoup », explique Laurie. « Je travaille à Lons, au siège, et Thomas est chez nous au Pays basque où il accompagne le développement d’APR dans la région. »
« La relation avec le père n’a pas toujours été simple. Il prépare la transmission, a vendu notre participation dans diverses sociétés, mais il est toujours présent également. Nos modes de management ne sont pas forcément les siens, nous vivons parfois ce que nous appelons des conflits générationnels », a-t-il déclaré.
La tension qui réconforte parfois le père. « Tu comprends papa ! c’est un surnom que j’ai donné à ma fille depuis qu’elle est en affaires. Elle me reproche parfois mes manières, mon humour est parfois limite. Je sais qu’elle a raison, je ne peux pas changer, mais je reviendrai un pas, je leur ai laissé mon grand bureau »… Pour s’installer à seulement 10 mètres dans une pièce plus modeste.
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